Envole-moi

Noël est passé, et avec lui sa kyrielle de cadeaux, parfois très banals. Mais entre un dvd et un bouquin de jardinage, se cache de temps à autre sur une pépite. Cette année, le titre du cadeau le plus curieux aura consisté en un stage de pilotage d’avion. Un cadeau de mon beau-père que j’étais impatient d’essayer. Quelques jours après, j’ai appelé le club de pilotage pour réserver une date ! Et c’est ainsi que, la semaine dernière, je suis allé à l’aérodrome avec mon beau-père pour m’envoyer en l’air. Nous avons été accueilllis par Max, un pilote professionnel. Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page Web. Il nous a donné un petit court théorique, nous sommes montés à bord de l’appareil et je me suis installé sur le siège du pilote. L’appareil était un quatre places, la belle-famille a pu venir en tant que passagère. Je pensais que mon formateur était censé se charger du décollage et de l’atterrissage, qui sont les phases les plus complexes. Mais ne devais pas avoir l’air assez angoissé à son goût, parce qu’il a décidé que c’était à moi de tout faire ! Ce n’était pas réellement dangereux, puisque l’avion était de type auto-école, et toutes les commandes étaient donc en double. Thomas pouvait ainsi reprendre la main si nécessaire. Le décollage s’est avéré assez facile, en définitive. Il suffit d’atteindre la bonne vitesse, de tirer doucement le manche vers soi, et direction le ciel. Les petits appareils s’avèrent particulièrement une excellente maniabilité. Pour tout dire, c’est très facile à piloter. En altitude, il faut prendre en considération une nouvelle dimension, mais dans le même temps, il n’y a en même temps ni obstacle ni circulation. De sorte qu’on peut obtenir son PPL avant même d’avoir l’âge pour le permis B ! Mais attention, ça demande de rester concentré à tout moment. L’appareil est maniable, mais ne fait pas le poids d’un avion de ligne : la moindre bourrasque suffit à le faire osciller en tous sens. Il faut donc corriger cela avec le manche. Pour plus de détails sur pilotage avion visitez notre page Web. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. La seule partie délicate, au final, c’est l’atterrissage. A l’approche de la piste, Matthieu a dûréduire notre vitesse d’approche. Mais en dehors de ça, j’ai vraiment été autonome de A à Z. Cette sympathique initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette nature, la vue est superbe. Un grand merci au père Noël pour ce moment, en tout cas !