La liberté pour tous

Quand les chiens dans tes rues, quand les oiseaux du ciel, quand le bétail sur vos collines, lorsque le poisson de la mer et les reptiles qui rampent ne peuvent plus pour distinguer l’esclave d’une brute, j’arguerai avec vous que l’esclave est un homme! Pour le moment, il suffit d’affirmer l’égalité entre hommes et femmes de la race noire. Est-ce pas étonnant que, tandis que nous labourons, plantons et récoltons, en utilisant toutes sortes d’outils mécaniques, l’édification de maisons, la construction de ponts, la construction de navires, ing dans les métaux de laiton, fer, cuivre, argent et or; que, pendant que nous lisons, écrivez et cryptage, agissant en tant que commis, marchands et secrétaires, ayant parmi nous avocats, médecins, ministres, poètes, auteurs, rédacteurs en chef, orateurs et enseignants; cette, alors que nous sommes engagés dans toutes sortes d’entreprises communes à d’autres hommes, creusant or en Californie, capturant la baleine dans le Pacifique, nourrissant des moutons et des bovins la colline, vivre, bouger, agir, penser, planifier, vivre dans une famille comme mari des bandes, des épouses et des enfants, et, surtout, confesser et adorer le christianisme le dieu de tian, et cherchant avec espoir la vie et l’immortalité au-delà de la tombe, nous sommes appelé à prouver que nous sommes des hommes! Voulez-vous que je soutienne que l’homme a droit à la liberté? Qu’il est le légitime propriétaire de son propre corps? Vous l’avez déjà déclaré. Dois-je argumenter le mal plénitude de l’esclavage? Est-ce une question pour les républicains? Est-ce à régler par les règles de la logique et de l’argumentation, avec beaucoup de difficulté, impliquant un application douteuse du principe de justice, difficile à comprendre? Comment devrais-je regarder aujourd’hui, en présence d’Américains, en divisant et en divisant une Bien sûr, pour montrer que les hommes ont un droit naturel à la liberté? en parlant relativement, et positivement, négativement et affirmativement. Faire ainsi, ce serait me faire ridicule, et voici une insulte à votre compréhension. Il n’y a pas un homme be- sous la canopée du ciel, cela ne sait pas que l’esclavage est mauvais pour lui. Une photo de Frederick Douglass dont on pense qu’elle a été prise lorsque le abolitionniste et orateur avait 61 ans. Quoi, dois-je prétendre qu’il est faux de faire des hommes bruts, de les dépouiller de leur liberté? la liberté de les travailler sans salaire, de les tenir ignorants de leurs relations avec leurs les autres hommes, les battre avec des bâtons, écorcher leur chair avec le fouet, charger leur membres avec des fers, de les chasser avec des chiens, de les vendre aux enchères, de lever leur familles, de se mordre les dents, de brûler leur chair, de les affamer dans l’obéissance et soumission à leurs maîtres? Dois-je faire valoir qu’un système ainsi marqué par sang, et souillé de pollution, est faux? Non! Je ne vais pas. J’ai un meilleur emploi pour mon temps et ma force, que de tels arguments impliqueraient.